Franz Kappus n'a pas vingt ans lorsqu'il d cide d' crire son a n , auteur certes jeune (Rilke a 27 ans) mais jouissant d j d'une certaine notori t . Ce sont d'abord les doutes de ce jeune l ve officier que l'on entend travers cette correspondance. Le jeune pistolier s'adresse au po te comme un confident susceptible de l'aider surmonter l'alternative qui le tenaille: la carri re militaire ou les risques de la po sie. Rilke r pond au d sarroi de son pu n en ces termes: Vous demandez si vos vers sont bons. C'est moi que vous posez la question. Vous en avez interrog d'autres auparavant.